La Presse

DMTF, de l’art à l’état pur

« Avec un sigle comme celui-là DMTF, l’on peut s’attendre à voir apparaître comme explicatif, un bureau d’une administration, mais DMTF signifie Danse Musique Théâtre Fantastique, et les artistes qui composent cette compagnie sont Paolo et Mariana.
Ces deux professionnels du spectacle avaient besoin d’un lieu afin de répéter un nouveau concept particulièrement audacieux, le FEP les a tout naturellement accueillis à la maison Thène.
Les deux artistes imaginent et conçoivent des spectacles et des activités pédagogiques destinés à promouvoir le métissage des genres artistiques : la danse, la musique et le théâtre dans l’univers du fantastique.
Forte de longues années d’expérience et de solides formations aux exigences du spectacle et des interventions pédagogiques de qualité, l’association mène des actions pour tout type de public, en de multiples lieux (théâtres, salles de spectacle, écoles, festivals, salons, etc.), en France et à l’étranger.
Le couple a travaillé sans relâche durant une douzaine de jours à la création d’un spectacle où l’univers fantasmagorique du rêve emmène le public dans son propre imaginaire.
La musique de Mariana, d’une grande douceur, se mêle aux pas de danse, la technologie côtoie le théâtre et les effets spéciaux étonnant transportent les spectateurs dans une nouvelle dimension de lumière, d’obscurité et de mouvement.
Une réussite qui marque l’avènement d’un nouveau concept de représentations où la frontière des arts disparaît pour le plus grand plaisir des heureux spectateurs. »

La Dépêche du Midi - Alzonne, 22/09/15

« Ca s’est passé près de chez vous. Les heureuses surprises de l’ATP. Depuis trente-neuf ans que l’ATP organise à Nîmes une saison de théâtre populaire; dans la ligne de Jean Vilar, les heureuses surprises n’ont pas manqué. De Roger Plan- chon à Marcel Maréchal, de Jérôme Savary à Jérôme Deschamps, de Découflé à Philippe Genty. Avec ce Voyageur sans tête, mardi soir, c’est la découverte du Théâtre fantastique. Un théâtre plein, à guichets fermés dont les bravos furent retentissants. Et, c’est justice. Rarement on a pu voir, sauf peut-être avec, Philippe Genty, un spectacle aussi extraordinaire. La réalité s’en trouve, dès le départ, rejetée dans les coulisses. Sur le plateau, après des vociférations féroces venues de l’ombre, apparaissent des signes lumineux, une espèce de baguette magique pointant son étoile sur un homme en pointillé, tout en vert, puis sur une femme clignotante toute en rose, et c’est la valse cocasse de ces deux personnages qui se cherchent, perdent leurs seins ou leurs têtes et dansent le plus réjouissant des ballets.
Tout le reste est à l’avenant. On saute de surprise en émerveillement, des prouesses électroniques du laser ou de la vidéo aux prouesses du mime ou de la danse et de ces quatre comédiens étonnants qui mènent le jeu. Ainsi se déroulent une dizaine de séquences qui semblent sorties d’un rêve ou d’un cauchemar. il serait trop long de les détailler.
Mais, il faut évoquer au moins les fantômes blancs dont le dernier est avalé par le monstre, ou la pieuvre verte aux tentacules gluantes ou ces scaphandriers qui se constellent de pointes jaunes ou ce bibendum, dont les fils se dévident jusqu’à sa disparition. Jamais les mots remplaceront les images. Mais ils peuvent au moins en suggérer les surprises et les splendeurs et faire de ce Voyageur sans tête, un des spectacles les plus brillants de l’ATP. »
La Marseillais

« Une fête à en perdre la tête.
Pendant trois jours, à raison de sept représentations au total, des milliers de petits Stéphanois viennent d’assister en famille à un fantastique spectacle scénique. Tout en participant à une bonne action pour des handicapés.
Impressions sur un spectacle constellé de féeriques sensations.
Ca commence dans le noir. Comme au pied d’un écran sur le quel vient s’inscrire le générique de l’histoire. Sauf qu’en voix-off, difficile de saisir les mots prononcés.
Qu’à cela ne tienne, on dirait comme une dispute, voire l’amorce d’une séparation.
Vous avez dit cinéma réalité ? Pas du tout dans la mesure où une étoile filante chargée d’électricité arrive pour faire le ménage entre bâtonnets, triangles et ronds, homme rouge et femme verte.
Pour les plus âgés, ça ressemble à du Mac Laren, ce génial gratteur de pellicule des années 60-70. Pour les jeunes parents de brouille passagère comme il en arrive au quotidien par fois. Au pied de la lettre, le bel envoi final. Et pour les petits, ça vous a comme un parfum de bonheur partagé avec tous ces personnages qui pendant une heure vont se raconter sans dialogue. Si ce n’est grâce à une gestuelle artistique et à des effets scéniques absolument fabuleux.
Dans une succession de tableaux faisant appel aux effets de la lumière noire, au mystère et au talent des six comédiens, ainsi qu’à des costumes toujours plus surprenants les uns que les autres, « Voyageur sans tête » offre à chaque spectateur présent la possibilité de se créer son propre scénario, tant le personnage central style Keaton et son absence de sourire lui offre de possibilités… d’échappatoire. C’est ainsi qu’entre papiers mâchés, tango décérébré, duo scotché, squelettes alambiqués et monstres qui ne font même pas peur, la compagnie Théâtre Fantastique composée de jeunes artistes français et italiens a su s’attirer au final un tonnerre d’applaudissements amplement mérités.
Ah, magie des yeux et des oreilles, quand tu nous tiens! »
Y.Po - Midi Libre

« La 1000 trouvailles à la seconde. »
« Un univers imaginaire où l’imagination est reine… »
« Maintenant on sait de quelle étoffe sont faits les rêves. »
L'Humanité

« Toute cette fantasmagorie procède d’un art totalement neuf, original. C’est beau, fascinant, déconcertant de virtuosité et en même temps cela semble si simple qu’on a l’impression en le quittant, d’avoir rêvé. »
Le Berry, Printemps de Bourges

« Les spécialités les plus remarquables de la troupe sont les ballets de lumières aux multiples facettes. »
La Voix Du Nord

« Une suite d’images époustouflantes, un voyage théâtral dansant et inventif… Une musique surprenante, une imagination où l’invention le discute à la fantaisie font de ce voyage entre théâtre visuel et théâtre virtuel un petit bijou à voir absolument. »
Sud Ouest Gironde

« Surgissent là des créatures fantastiques créant une atmosphère absolument magique autant que romantique saupoudrée de drôlerie. Les costumes étonnants se dessinent en milliers de lumières, allumant des étoiles dans les yeux du public. Dans cet espace réel-virtuel, on retrouve la trace de la tradition du théâtre noir où s’illustrèrent quelques grands magiciens sur les scènes des music-halls. »
Le Dauphiné Libéré

« Un travail quasiment inclassable tant il emprunte à la fois au cirque, au mime, à la musique, à l’ordinateur, au dessin, au collage, au gribouillage, qui lentement fait plonger le témoin dans un autre univers. »
Bergische Morgenpost, Allemagne

« Magique, merveilleux, surréaliste … un poème dans lequel la vie se crée et se développe d’une façon nouvelle… Pas de dialogues, seulement une musique en parfaite harmonie avec le visuel. »
Journal du Centre

Presse
Presse
Presse
Presse
Presse